Avec la fin du Ramadan et l’interaction du public avec de nombreuses séries diffusées sur les chaînes marocaines, le sort de certaines séries qui ont gagné l’admiration des téléspectateurs a commencé à être discuté. Parmi ces séries, les plus connues sont « Old Wound » et « Blood Meshrouk », qui ont suscité beaucoup de controverse et d’admiration sur les plateformes de médias sociaux pendant le mois sacré du Ramadan.
Selon des sources proches des sociétés de production, il n’y a actuellement aucune intention de tourner une deuxième saison pour l’une ou l’autre de ces deux séries, contrairement à ce qui a circulé dans certains messages sur les médias sociaux.
Bloodshot : Une fin ouverte sans intention de poursuivre l’histoire
Une source proche de la série a révélé que la série avait été conçue pour ne comporter qu’un seul épisode. La source a expliqué que la fin ouverte qui a été adoptée était un choix créatif intentionnel, et non une indication qu’il y a des plans futurs pour développer une suite. La source a confirmé que les récentes rumeurs concernant le tournage d’une deuxième saison sont infondées, car il n’y a actuellement aucune négociation, que ce soit en termes d’écriture ou de préparation de la production.
Une vieille blessure : Une œuvre achevée qui n’a pas besoin de suite
La série « An Old Wound », diffusée sur Channel One, a connu un grand succès grâce à son thème humanitaire qui a touché le cœur des téléspectateurs au Maroc. Malgré la popularité de la série sur les plateformes de médias sociaux, des sources au sein de la société de production ont confirmé que la série était conçue pour être achevée en une seule saison. Les sources ont expliqué que l’histoire a été close une fois pour toutes et qu’il n’y a aucune intention de développer une deuxième partie, même s’il y a des demandes de fans sur les plateformes de médias sociaux. Elles ont souligné que le fait de s’en tenir au principe de la limitation à une saison est une démarche artistique correcte, car l’extension de l’histoire peut conduire à un « étirement » susceptible d’avoir un impact négatif sur la qualité de l’œuvre.
Conclusion
En fin de compte, il semble que les sociétés de production marocaines adoptent une approche différente pour les séries du Ramadan, car elles visent à présenter des œuvres complètes qui ne s’appuient pas sur l’étirement ou la prolongation. Cette approche est applaudie par le public, qui en est venu à préférer les drames rapides et les histoires fermées avec des fins claires, ce qui reflète la maturité de l’industrie dramatique marocaine.