Le suspect du meurtre de l’activiste américain Charlie Kirk, proche du président Donald Trump, a révélé qu’il avait avoué le crime lors de conversations privées avec son voisin et ses amis, tout en révélant ses motivations et les secrets de l’arme utilisée.
Charlie Kirk, éminent militant politique, a été assassiné alors qu’il prononçait un discours dans l’Utah, provoquant une onde de choc dans les milieux politiques américains. Tyler Robinson, un jeune homme de 22 ans, a été arrêté en tant que suspect principal du crime, après que son père a informé les autorités de ses soupçons quant à l’implication de son fils.
Selon la BBC, Robinson a admis à plusieurs reprises avoir tiré sur l’objet du délit. Le procureur a révélé que l’accusé avait laissé une note sous le clavier de sa chambre, adressée à sa colocataire, avec laquelle il entretenait une relation amoureuse. La note était libellée comme suit : « J’ai une chance d’éliminer Charlie Kirk, et je vais la saisir. »
Robinson a demandé à son voisin de trouver la note, en indiquant l’endroit où elle se trouvait lors de leur conversation privée. Il a avoué avoir attaqué Kirk, expliquant où l’arme était cachée et exprimant son inquiétude quant aux preuves potentielles. Dans un message, il écrit « Je vais toujours bien, mon amour, mais je vais rester à Orimi un peu plus longtemps. Je pourrai bientôt rentrer chez moi, mais je dois encore récupérer mon fusil. Honnêtement, j’espérais garder le secret jusqu’à ma mort. Je suis désolé de vous avoir entraînée là-dedans. »
Les conversations indiquent que Robinson cachait soigneusement l’arme, de peur de laisser des empreintes digitales. Son voisin l’a averti de ne pas en révéler davantage, ce que l’accusé a accepté, mais il a ouvertement admis le crime et en a expliqué la raison : « J’étais fatigué de sa haine. Certains types de haine ne peuvent pas être surmontés par des négociations ».