Une étude de sept ans, publiée dans la revue scientifique Nature, a révélé que de faibles niveaux de lithium dans le cerveau pourraient être un facteur potentiel dans le développement de la maladie d’Alzheimer.
Les résultats montrent que le lithium joue un rôle essentiel dans la santé du cerveau, en maintenant les connexions entre les cellules nerveuses, en formant la gaine protectrice des fibres nerveuses (myéline) et en aidant des cellules spécialisées à nettoyer le cerveau des déchets protéiques nocifs.
Cette découverte ouvre de nouvelles voies aux chercheurs pour développer des moyens innovants de diagnostiquer la maladie à un stade précoce, ainsi que des stratégies thérapeutiques qui pourraient améliorer de manière significative la qualité de vie des millions de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer dans le monde.