Le ministère brésilien de l’agriculturea annoncé lundi une nouvelle mise à jour des restrictions à l’exportation de volailles, à la suite du premier cas confirmé de grippe aviaire dans une exploitation commerciale, ce qui constitue un précédent inquiétant pour le plus grand exportateur de volailles au monde.
Conformément aux protocoles sanitaires approuvés, les autorités brésiliennes ont décidé de ne plus délivrer de certificats sanitaires pour les cargaisons de volailles destinées à l’Union européenne. Chine, Union européenne, Afrique du Sud Et ce, à l’échelle nationale.
En réaction rapide, plusieurs pays, dont Chili, Argentine, Uruguay, Mexique, Corée du Sud, Malaisie et Canada a suspendu les importations en provenance de toutes les régions du Brésil par mesure de précaution contre la propagation du virus.
Quant aux autres pays tels que Singapour, Japon, EAU, Arabie Saoudite, Irak, Bahreïn, Philippines et Cuba Une interdiction partielle a été imposée, limitée à des zones spécifiques.
Le ministère brésilien a expliqué que certains pays, dont Arabie Saoudite, EAU, Irak Aucune annonce officiellen’a encore été faite concernant cette interdiction, tandis que Bahreïn a décidé d’interrompre les importations de volailles en provenance de l’État du Rio Grande do Sul, qui serait à l’origine de l’épidémie.
Grâce à ces mesures préventives et à ces mises à jour réglementaires, le Brésil cherche à maîtriser rapidement la situationet à rétablir la confiance de ses partenaires commerciaux sur le marché mondial de la volaille.